Une fille qui change tous !

Ah, je hais cette sonnerie ! Toujours à gacher les bons moments...

Me dit-il. C'était la toute première fois que j'entendais cette sonnerie, mais je la haïssait déjà. Comme tous les élèves ici je pense. Je n'avais à présent que deux heures de cours. Deux heures à patienter afain de pouvoir le revoir. Je savais d'avance que les heures de cours seront longues cette après-midi. Non, je ne voulais pas partir, je ne voulais pas le laisser. Mais je n'avsi pas le choix. Je ne pouvais pas manquer mes premiers cours .. Mon père serait certainement furieux en apprenant ça et je ne voulais pas rentrer en Chine.

Je crois que je ne vais pas l'a supporté longtemps .. Bon, a tout à l'heure !

Je lui sourit, lui fit un geste de la main avant de m'éloigner dans cette foules d'élève. J'aurais voulu, l'embrasser, l'enlacer, mais je ne m'étais pas permis ce geste. Arrivée à la salle indiquée sur mon emploi du temps, je m'assis parmis les gens de ma classe. Il y avait là une bimbo que tous les mec regardait .. Un petit intello, et un gars qui avait l'air d'être le comique de la classe. Bien calée dans ma chaise, je fixais la pendule, comme si elle pouvait avancer plus vite.

La première heure passa lentement, très lentement. Lorsque la sonnerie retentit, je me dirigeas vers mon second cours. Un cours de Français. Le precédent prof que je venais d'avoir était d'une débilité sans égale. Il ne faisait que parler, parler et parler. Si bien que, à moitiée allongée sur mon bureau, j'avais faillit m'endormir. A présent en plein cours de Français avec un professeur touours aussi ennuyeux, je mis ma tête entre mes mains. Je pensais à lui. Son visage, sa vois, ses yeux ... Je en l'avais même pas croisé dans le couloir. Les gens de ma classe ne m'avait à peine adressé la parole, à vrai dire, il ne m'avait à peine regardée. Mais je m'en fichais. Je savais que dans moins d'une heure, j'allais le revoir. Perdue dans mes rêves, je fut sortit de mes pensées par la voix du professeur qui me demandait de me réveiller et d'aller au tableau. J'hésita un moment et me dirigea vers celui-ci. Devant tout le monde. J'entendais déjà les autres rire, disant qu'il ne m'avait même pas remarquée. C'était sans compter sur le prof qui commenca à me poser tout un tas de questions auquelles je en savait pas répondre. Qui à écrit ce livre ? Ou est-il né ? Qu'est-ce que j'en sais moi !
De retour enfin à ma place, je fut heureuse de constater que ça allait sonner. Quelques minutes plus tard, la sonnerie retentit. Finalement, je l'aimais beaucoup cette sonnerie !
Je me dirigeas vers mon casier et m'appuya contre celui-ci, en espérant qu'Aaron me rejoindrait vite ...

Toujours aussi ennuyeux ses cours ! Vivement que sa sonne, je j'emdomis à moitier, mais ma prof, m'interrogea sur une questions qui pour moi je ne savais répondre, alors je le regarder, osa les épaules, quelque étudient de ma classe rigolèrent, et me tréta de ringare...Enfin, j'enttendi la sonnerie rentir dans mes oreille, je vus soulager, je vais pouvoir revoirs Lei...Je parti à toute vitesse de la classe, et je me diriger vers mon casier, espèrent qu'elle soit là...
Je sourie, quand la vis, je m'approcher vers elle et lui fit un leger baiser sur sa joue...

Coucou !

Dit-je, en la regardant, quesqu'elle m'avait manquer ! La revois me fesais du bien, j'avais retrouver le sourire...

Lorsqu'il revint, Aaron me fit un léger baiser sur la joue. Je sentit mon coeur se serrer dans ma poitrine. Lui, celui à qui j'avais penser toute cette après-midi, avait déposer ses lèvres sur ma peau. Je me sentit tellement bien, tellement heureuse, que cette immense sourire qu'il avait réussi à faire apparaître deux heure auparavant venait de se réafficher sur mes lèvres. C'est fou ce qu'il m'avait manquer, je crois que jamais quelqu'un ne m'a manquer autant.

Coucou !

Hey ! Ca s'est bien passé les cours ??

Elle s'attendait un peu à sa réponse. Les cours étaient ennuyeux. Tous les élèves auraient répondu la même chose. Sauf peut être, les accros de la bibliothèque. Mais ils étaient très rare. Quoique cette école ne fusse pas un endroit où l'on aime être, j'avourais que j'en ai connu des bien pires.

Tu sais .. Tu m'a beaucoup manqué.

Ca y'est. Il fallait que ça sorte. Il fallait que je lui dise à quel point l'absence de sa présence m'avait manqué.

Hey ! Ca s'est bien passé les cours ??

horriblement ennuyeux, j'ai crus que s'allais jamais ce terminer, et cette prof de français qui m'interroge, et que je ne savais quoi répondre.. Et toi, ça ses bien passer ?

Tu sais .. Tu m'a beaucoup manqué.

Tu peux pas savoir, que pour moi c'est pareille, elle m'a ennormement manquer, je n'ai que penser à elle, rien qu'à elle. Je ne sais même pas de quel sujet on parler pendans les cours, tellement elle m'avais manquer...

Tu m'a beaucoup manqué toi aussi, j'ai trouver le temps long....sans toi...

Me voilas, il fallais que je lui dise, en tous cas, qu'elle sache qu'elle compte beaucoup pour moi, et que sans elle je suis rien, rien qu'un tas de pousière près à s'envoler dans les airs

horriblement ennuyeux, j'ai crus que s'allais jamais ce terminer, et cette prof de français qui m'interroge, et que je ne savais quoi répondre.. Et toi, ça ses bien passer ?

C'était aussi ennuyeux que tes cours à toi ! Je n'attendais qu'une chose, c'est que ça sonne !
Oui, je n'attendait qu'une seule et unique chose, c'est que ça sonne. Mais je ne lui avait pas exactement dit pourquoi. Le mot manquer était bien faible à côté de ce que je ressentait pour lui. Je ne pouvais plus tenir sous son abscence. Il était un peu comme ma dose d'héroïne.

Tu m'a beaucoup manqué toi aussi, j'ai trouver le temps long....sans toi...

Je me mit à sourire bêtement suite à ses quelque mots qui m'allèrent droit au coeur. Avec conviction, je luis tendit la main, espérant qu'il la prenne.

Sortons d'ici ! Je n'en peux plus !

Sortons d'ici ! Je n'en peux plus !

Me dit-elle, en me tendent sa main. Je lui sourit, et je lui pris avec tendresse sa douce main, j'avais même entrelacer nos doigh. On sorti de l'établisement, et on se dirigea vers la ville. On parler de tous et de rien, on rigoler, et on se regarder, toujours et encore...Là, on était à côter d'un arbre, on s'avait assis, on était tranquille et seul....

Cette endrois est très beau, tu trouve pas ?

Je ne sais pas pourquoi mais j'avais envis de l'embrasser, mais je ne fis rien, je me contenter de rejoindre son regard, celuis que j'aime tens ! Je l'aime, je l'aime...elle est tellement gentille, une fille normale, qui pour moi est magnifique..

Après quelques pas dans les rires, nous nous sommes assis auprès dun arbre. Ici, on était seuls. Le seul et unique bruit que l'on pouvait entendre, c'était le chant des oiseaux, et le bruit de nos respirations. Respiration qui, près de lui, se mit à accélérer. Je le regardais dans ses yeux, ses yeux bleux dans lesquels je ne mis pas longtemps à me perdre. Je posa doucement ma main sur la sienne. Au contact de sa peau, je sentit tout mon corps frissoner.

Cette endrois est très beau, tu trouve pas ?

Oui, cet endroit était très beau. On avait finit par le trouver, notre endroit rien qu'à nous. Cette pensée me fit sourire. Il était d'autant plus merveilleux avec luii à mes côtés.

Oui, c'est calme ...

Doucement, avec douceur, je m'approcha doucement de son viasge. Plus qu'à quelques centimètres de ses lèvres, nos respiratiions s'entremêlaient. Je pouvais m'ennivrer de son parfum. Je frôla doucement mes lèvres sur les siennes ...

Oui, c'est calme ...

Me dit-elle, en s'approchant de mon visage. Je la regarder, dans ses yeux, je deposa mes lèvre contre les siennes, mis ma mains contre son visage doux et soyeux...Je pus savourais se baiser, gouter à ses lèvre sucrée et fruitée...
Voilas, je l'ai embrasser, ce que je voulais depuis tous à l'heure, ma main dans la sienne, j'était heureux, heureux d'être avec elle, heureux qu'elle m'aime elle aussi...

Rien que toi et moi...

Je passa ma main contre sa joue, je lui caresser, je la regarder...

Rien que toi et moi...

Ca y'est, nous étions arrivés au moment que j'espérais. Avec tout l'amour que je put lui donner, je prolongea ce baiser. Un baiser brûlant, plein de passion. Je sentit toute ma sensualitée révélée gace à lui. Je me sentit pousser des ailes pendant que ses mains effleurait mon visage. A ne plus en avoir de souffle, je voulais que ce baiser reste graver dans sa mémoire. D'un un souffle, un murmure, je lui dit :

Laisse-moi t'apprendre ce qu'est l'amour.

Sans qu'il ne le sache, il venait, à son tour, de me montrer ce qu'est le bonheur, le vari, celui que je n'avsi jamais gouté. Je ne pouvais m'expliquer comment ni pourquoi je m'étais si vite attacher à lui. Peut être que je faisais encore une fois une erreur ? Mais cette pensée disparu rapidement, n'ayant en tête que d'adoucir mes caresse que je lui portais le long de son dos.

Laisse-moi t'apprendre ce qu'est l'amour.

Je la regarder, je lui sourit, elle m'avait déjà appris des choses sur l'amour, sans que je ne le sache, depuis la seule fois où je l'ai vus, où j'ai croiser son regard...Où je l'ai embrasser.

Tous ce que tu voudras...

dit-je entre deux baisers. L'amour, moi qui croyais que cela n'essister pas, moi qui croyais que je n'allais jamais connaître cela, me voilas amoureux...Je l'aime plus que tous. Je me suis attacher à elle, en espace d'une seconde. On ce connait depuis que ce matin, et là, la voilas avec moi, dans mes bras, en train de l'embrasser avec tous l'amours que j'ai pour elle, toute la tendresse et tous ma passions...

Tous ce que tu voudras...

Je souris à ces mots. Quoi demander de plus ? Je l'avais pour moi toute seule et il venait de me donner son accord pour lui apprendre tout ce que je savais .. Et j'en savais beaucoup. Avec la plus grande douceur et la plus grand délicatesse, je déposai de doux baisers dans son cou, remontant à chaque fois sur ses lèvres. Je sentais ma peau brûler sous chaqun de ses baisers. J'étais sur une autre planète, dans un autre monde ou même perdue au delà des nuages. Le soulagement de pouvoir enfin lâcher prise et d'être moi même me procurait un sentiment de plénitude extrême. Son corps, son âme, tout se gravait en moi. Dans un unique murmure, je ne pus que prononcer "Aaron" ... Ma bouche ne quittait plus la douceur de sa peau. Elle en était comme aimantée. Et, je n'essayais pas de m'en détacher. J'adorais ça. J'en redemandais, encore et encore. Je ne voulais pas que ça s'arrête. Jamais.

Je continuer de l'embrasser, je caresser son dos, ses cheveux, je ne voulais pas que ce moment cesse...Je mis mes bras contre elle, je la serra dans mes bras, je pouvais sentir son odeur...On s'avais allonger sur l'herbe, j'avais une des mes main contre elle, je la regarder, je l'embrasser encore et encore...

Je n'ai pas arrêter de penser à toi durant les cours tous à l'heure..

Je continuer de la regarder, de lui donner des doux baiser, et continuer aussi mes caresse

Je le contemplais, et je me sentais vivante. Mon corps semblait enfin vivre. Il fonctionnait comme il n’avait jamais fonctionné. Mais, ce qui me réchauffait davantage, c’était cette manière qu’il avait de m’observer. J’aimais apercevoir mon reflet dans ses grands yeux bleux , parce que pour la première fois de ma vie, je me sentais belle. Je me sentais sienne. Et cela, était très importantpour moi. Laissant ma tête aller en errière, je sourit pour la enième fois.
Je sentais derrière ces mots, toute la véritée du monde.
Posant un doigt sur sa bouche, je le regarda dans les yeux.


Je n'ai pas arrêter de penser à toi durant les cours tous à l'heure..

-Chuuuuuuut.

Je soupirais sous chacune de ses caresses .. L'embrassant à nouveau, ma tête et mon esprit ne pensaient à rien d'autre qu'à lui. Je voulais mourir dans ses bras. Mourir de son être, laissant son corps se frôler avec délicatesse contre le mien.

Je voulais éviter de penser au lendemain. Probablement que la réalité se rappellerait à moi et à cet instant, je me demanderai enfin ce qui m'arrivait. J'avais peur de m'accrocher pour de mauvaises raisons. Est-ce que c'était à cause de la peur de tout à l'heure, de ma solitude pesante... Non, je ne veut pas le croire. Au fond de moi, je savais que je ne me tromperais pas cette fois .. Enfin .. Je l'espérais. Aussi fort que quelqu'un puisse espérer quelque chose. C'est pourquoi je ne pouvais plus me détacher de ses lèvres. J'étais de celle qui n'avait plus le temps de sourire, dont la vie prenait le devant, où les crises de rire appartiennent à un autre temps. Celle qui n'avait Plus de bonnes nouvelles qui viennent enfin nous mettre debout. En un temps restreint, plus vite que je ne pouvais l'imaginer, ils venaient de remédier à mes douleurs, mes pleurs et mes peines. Il avait réussi à changer tous ça.

On aurait dit une petite fille intimidée. Et c'est vrai qu'il m'intimidait. Il imposait une telle force, un tel respect, que je me sentais faible face à lui. Mais je en pouvais empêcher mon index de caresser son nez, ses lèvres, de faire le contour de son visage du bout des doigts. Chacun de ses regards sur moi, me brûlaient la peau. Jamais je ne m'étais entit comme ça. Jamais. Cette impression d'être vivante dans ses bras m'ennivrais d'une plénitude parfaite. Enfin quelqu'un qui me prenait pour ce que je suis. Moi et pas une autre. M'approchant avec douceur de son oreille, je murmura :


C'est mot que j'avais prononcer mainte fois. Sans succès ... J'avais besoin de savoir que je n'étais pas juste de passage. Si je n'étais pas juste une fille de plus. Me sens s'affolaient sous ses caresses.

Ne me laisse pas tomber.

Me murmura t-elle dans mon oreille. Jamais je la laisserais, jamais...Je la regardais dans ses yeux, faut pas qu'elle pense cela, je ne lui ferais jamais cela..

- Jamais, je te laisserais, tu attent, jamais...Je...Je t'aime beaucoup trop pour cela.

Je t'aime, c'est la première fois que je le dit, que je le pense à une fille. La seule qui a réelllement ouvert mon coeur, c'est bien elle, mon coeur et tous à elle, je lui donne, je lui donne tous ! Je pourrais mourrire pour elle.
Et jamais, je la quitterais pour une autre fille, jamais je la tromperais...
Pour moi ma vie commence aujourd'hui, grace à elle...

Je finissais par poser une main dans son cou, laisser mon pouce caresser sa joue et mes lèvres embrasser les siennes. J'avais un nœud juste sous le nombril, et un frisson bizarre dans le dos. Une chaleur étrange m'animait et en y réfléchissant bien, je l'avais déjà depuis quelques minutes en moi.

Je t'aime. Il venait de me dire qu'il m'aimait. Cette phrase m'alla droit au coeur, me réchauffa un peu plus.

Je t'aime aussi ...

Et elle le pensait. Sincèrement. Pourtant, une question lui trottait dans la tête. Elle aurait aimé savoir qu'elle était l'erreur qu'il avait commi plus jeune..